Certaines études ont montré par exemple que l’individu en groupe (clan, bande, fan-club), au sein d’une société, perd dans une certaine mesure, son libre arbitre et a tendance à se rallier à la pensée ainsi qu’au comportement du groupe ou de la masse. Il agirait ainsi différemment de ce qu’il aurait fait en étant seul.
Le comportement est l’action ou la réaction observable des êtres humains dans un environnement et dans une situation donnée. Le comportement, c’est la manifestation visible de la personnalité. Il est fortement lié en amont aux intelligences, au tempérament, au caractère et à l’attitude (croyances, opinions, idéologies, valeurs, représentations mentales, émotions, sentiments).
Attitude et comportement sont donc intimement liés, et ce n’est pas notre attitude qui est perçue par les autres mais elle est rendue visible par le comportement et l’action qu’elle a déclenchés.
Il existe des comportements verbaux et des comportements non verbaux, tels que les expressions du visage, le regard, les gestes, la posture ou l’utilisation de l’espace interpersonnel.
Les principaux comportements fondamentaux sont les comportements alimentaires, sexuels, maternels, sociaux, d’agression, de défense, de fuite ou d’inhibition. Ils peuvent être décrits comme innés ou acquis, conscients ou inconscients, volontaires ou involontaires, automatiques ou contrôlés, etc.
Ils présentent trois dimensions :
En dehors des réflexes élémentaires,
tout comportement présente ces trois dimensions. Selon la prédominance de l’une d’elles – la cognition, l’affect, l’action – on peut parler de « comportement cognitif », de « comportement affectif » ou de « comportement émotionnel » et de « comportement moteur ».
Dans certaines circonstances, il arrive que le comportement ne soit pas en accord avec l’attitude, les croyances, les valeurs, et cela crée un état de tension intérieure, un profond mal-être. Amenés à agir contrairement à nos convictions, nous avons tendance à justifier nos actions et à adapter nos opinions à nos comportements. C’est le phénomène de dissonance cognitive (1957), théorie développée par Leon Festinger (1919-1989), professeur en psychologie sociale à l’université Stanford (Palo Alto, Californie).
Surtout, n’oubliez pas, VOUS êtes extraordinaire !